Accueil
Cronk
Lors d'une attaque de mort vivant contre la cité d'Andragon, un ork, sortie de nul part se dressait entre les deux armées. Sa hache encore sanglante et des bouts d'os coincé dans sa bouche montrait qu'il venait de ce rassasier. Mais son envie de combat n'avais pas de limite; et lorsqu'il découvrit les deux armées il n'en était que plus déçu et il s'exclama: « marr d'ces zumain à la peau rose et molle,et lé tas d'os tombe plus vi't ke mon p'tit dèj».
Déçu Cronk parti, sans prêté attention à la rude bataille qui s'annonçait, en quête d'adversaire plus coriace. Malheureusement pour lui, il ne fît aucune rencontre digne de son envergure et capable d'assouvir sa soif de sang. Dans son désespoir incommensurable, Cronk décida de noyer cette insatisfaction dans l'alcool, dans une petite taverne du coin.
Alors qu'il commençait à se remettre de cette terrible angoisse, deux aventuriers ivrognes débutaient une vulgaire bagarre de comptoir. Énervé et après quelques chaises fracassées sur son corps raide, il sorti de la taverne afin d'extérioriser sa colère envenimé par la frustration. Dans un beuglement rauque et assourdissant il s'écria: « y'a personne dans ce foutu trou qui veu zeu meuzuré a moa !!! »
Dans cette nuit sans lune où l'ombre régnait, Cronk entendit une mystérieuse voix parvenir à ces oreilles par une légère alizé, ce qui le coupa dans son élan: « Salutation chère guerrier ork, je me présente je suis Armaddon. Ne cherche pas à me voir car je suis ici et ailleurs, si tu sais te battre et que tu dis vrai alors prouve le moiiiiii ».
Cette étrange événement eu pour effet de ravivé sa rage. Sans se maitrisé, comme prit par une envie fulgurante, presque dans un état de transe, il déboula dans la taverne accompagné de sa fidèle hache. Devant son entrée fracassante, les aventuriers ivres comprirent qu'ils n'avaient aucune chance contre cette être abominable. Un véritable massacre était en train de ce réalisé, le sang jaillissait, des membres virevoltait, des boyaux encore fumant s'étalaient,et des cadavres s'entassaient. Après s'être acharné sur les restes de corps sans vie, il ressorti et pour répondre à cette petite voix qui l'avais défier, il s'écria: « ARMATRUC ZAI FAI S'QUE TU VOULAI, MONTRE TOI ET AFFRONTE MOI ».
Cronk n'entendit rien. Suite à cette privation, son agressivité avait monté de tel sorte que ces yeux était devenu rouge écarlate et ces muscles avaient doublé de volume. Afin de prouvé sa valeur auprès de cette voix, il se rua en direction de la caserne et poussa sans grande intelligence: « T'vas voir c'ke j'vais t'flanquer kom'raclée kan j'vais t'attraper spèce de sal'gob puant ! J'vé t'mettr' mon pied au kul ! ».
Une fois de plus la fureur le dominait et il décima la caserne. On pouvait entendre des hurlements, des gémissements depuis le château et le sang tapissais les vitres.
Après cette tuerie, Cronk sorti. Malgré la noirceur de cette nuit, on pouvait distingué une jambe dans sa bouche (il faut croire qu'une telle rage ouvre l'appétit). Mais on pouvais lire sur son visage une certaine satisfaction, comme si cette singulière castagne avait calmé ces ardeurs. Il ne pût s'empêche de clamé: « ARMADDON OU EST TU ? HAHAHAHA rgarde comment chté pouri la boite a soldat ».
C'est alors qu'une silhouette se différencia de l'ombre et rétorqua: « Je suis sûr que tu seras à la hauteur » et cette fameuse ombre disparu aussi vite qu'elle n'était apparue. Trop occupé à dévorer sa jambe, il n'eut pas l'envie de poursuivre ce fantôme mais il garda en tête cette satané phrase.
Les semaines passèrent. Cronk, toujours fidèle à lui même, poursuivi son talent de guerrier et son quotidien était rythmé par les combats. Seulement la phrase entendu durant cette nuit de massacre hantait ces esprits « Je suis sûr que tu seras à la hauteur ». Il ne réussi à percer le sens de cette phrase.
Un jour alors qu'il était à la recherche d'une victime ou de nourriture ou d'alcool, on ne sait pas vraiment, une femme au long oreille l'aborda. La voix de cette elfe dont l'apparence était magnifique lui semblait familière. Il n'associait cette voix à aucune de ces connaissances néanmoins cela lui évoqua un merveilleux souvenir.
« Voilà qu'on se rencontre mon chère ami !! »
Cronk resta immobile, le regard dépourvu d'intelligence comme si il essayait de penser.
L'elfe poursuivit:
« Te rappel tu de moi ? Je suis Armaddon »
Après quelques minutes silencieux Cronk s'extasia:
« HAHAHA les p'tit soldat avec leur cur dent »
Amaddon surprit, répondit:
« Hheeuuu oui on va dire ça …... . Je te proposes de te joindre à moi, car j'ai besoin de valeureux guerrier sans peur et fort comme toi dans mes rangs »
Cronk eu un moment d'absence comme si il ne comprit pas ce que disait Armaddon, il tenta donc de reformuler sa proposition:
« tu veu t'battre avec Cronk ? »
Armaddon soupira longuement et reprit ça phrase:
« Si toi vouloir tapé beaucoup, toi venir avec moi »
Lorsque Cronk entendit sonner le mot 'tapé' dans ces oreilles, il afficha un large sourire. Il prêta allégeance a la horde, même si il ne sut jamais ce que cela signifiait.
La Horde forever !!!
Lors d'une attaque de mort vivant contre la cité d'Andragon, un ork, sortie de nul part se dressait entre les deux armées. Sa hache encore sanglante et des bouts d'os coincé dans sa bouche montrait qu'il venait de ce rassasier. Mais son envie de combat n'avais pas de limite; et lorsqu'il découvrit les deux armées il n'en était que plus déçu et il s'exclama: « marr d'ces zumain à la peau rose et molle,et lé tas d'os tombe plus vi't ke mon p'tit dèj».
Déçu Cronk parti, sans prêté attention à la rude bataille qui s'annonçait, en quête d'adversaire plus coriace. Malheureusement pour lui, il ne fît aucune rencontre digne de son envergure et capable d'assouvir sa soif de sang. Dans son désespoir incommensurable, Cronk décida de noyer cette insatisfaction dans l'alcool, dans une petite taverne du coin.
Alors qu'il commençait à se remettre de cette terrible angoisse, deux aventuriers ivrognes débutaient une vulgaire bagarre de comptoir. Énervé et après quelques chaises fracassées sur son corps raide, il sorti de la taverne afin d'extérioriser sa colère envenimé par la frustration. Dans un beuglement rauque et assourdissant il s'écria: « y'a personne dans ce foutu trou qui veu zeu meuzuré a moa !!! »
Dans cette nuit sans lune où l'ombre régnait, Cronk entendit une mystérieuse voix parvenir à ces oreilles par une légère alizé, ce qui le coupa dans son élan: « Salutation chère guerrier ork, je me présente je suis Armaddon. Ne cherche pas à me voir car je suis ici et ailleurs, si tu sais te battre et que tu dis vrai alors prouve le moiiiiii ».
Cette étrange événement eu pour effet de ravivé sa rage. Sans se maitrisé, comme prit par une envie fulgurante, presque dans un état de transe, il déboula dans la taverne accompagné de sa fidèle hache. Devant son entrée fracassante, les aventuriers ivres comprirent qu'ils n'avaient aucune chance contre cette être abominable. Un véritable massacre était en train de ce réalisé, le sang jaillissait, des membres virevoltait, des boyaux encore fumant s'étalaient,et des cadavres s'entassaient. Après s'être acharné sur les restes de corps sans vie, il ressorti et pour répondre à cette petite voix qui l'avais défier, il s'écria: « ARMATRUC ZAI FAI S'QUE TU VOULAI, MONTRE TOI ET AFFRONTE MOI ».
Cronk n'entendit rien. Suite à cette privation, son agressivité avait monté de tel sorte que ces yeux était devenu rouge écarlate et ces muscles avaient doublé de volume. Afin de prouvé sa valeur auprès de cette voix, il se rua en direction de la caserne et poussa sans grande intelligence: « T'vas voir c'ke j'vais t'flanquer kom'raclée kan j'vais t'attraper spèce de sal'gob puant ! J'vé t'mettr' mon pied au kul ! ».
Une fois de plus la fureur le dominait et il décima la caserne. On pouvait entendre des hurlements, des gémissements depuis le château et le sang tapissais les vitres.
Après cette tuerie, Cronk sorti. Malgré la noirceur de cette nuit, on pouvait distingué une jambe dans sa bouche (il faut croire qu'une telle rage ouvre l'appétit). Mais on pouvais lire sur son visage une certaine satisfaction, comme si cette singulière castagne avait calmé ces ardeurs. Il ne pût s'empêche de clamé: « ARMADDON OU EST TU ? HAHAHAHA rgarde comment chté pouri la boite a soldat ».
C'est alors qu'une silhouette se différencia de l'ombre et rétorqua: « Je suis sûr que tu seras à la hauteur » et cette fameuse ombre disparu aussi vite qu'elle n'était apparue. Trop occupé à dévorer sa jambe, il n'eut pas l'envie de poursuivre ce fantôme mais il garda en tête cette satané phrase.
Les semaines passèrent. Cronk, toujours fidèle à lui même, poursuivi son talent de guerrier et son quotidien était rythmé par les combats. Seulement la phrase entendu durant cette nuit de massacre hantait ces esprits « Je suis sûr que tu seras à la hauteur ». Il ne réussi à percer le sens de cette phrase.
Un jour alors qu'il était à la recherche d'une victime ou de nourriture ou d'alcool, on ne sait pas vraiment, une femme au long oreille l'aborda. La voix de cette elfe dont l'apparence était magnifique lui semblait familière. Il n'associait cette voix à aucune de ces connaissances néanmoins cela lui évoqua un merveilleux souvenir.
« Voilà qu'on se rencontre mon chère ami !! »
Cronk resta immobile, le regard dépourvu d'intelligence comme si il essayait de penser.
L'elfe poursuivit:
« Te rappel tu de moi ? Je suis Armaddon »
Après quelques minutes silencieux Cronk s'extasia:
« HAHAHA les p'tit soldat avec leur cur dent »
Amaddon surprit, répondit:
« Hheeuuu oui on va dire ça …... . Je te proposes de te joindre à moi, car j'ai besoin de valeureux guerrier sans peur et fort comme toi dans mes rangs »
Cronk eu un moment d'absence comme si il ne comprit pas ce que disait Armaddon, il tenta donc de reformuler sa proposition:
« tu veu t'battre avec Cronk ? »
Armaddon soupira longuement et reprit ça phrase:
« Si toi vouloir tapé beaucoup, toi venir avec moi »
Lorsque Cronk entendit sonner le mot 'tapé' dans ces oreilles, il afficha un large sourire. Il prêta allégeance a la horde, même si il ne sut jamais ce que cela signifiait.
La Horde forever !!!